Les erreurs nourrissant l'expérience, la droite recommença derechef à se déchirer en 1998 au détriment cette fois-ci de Jean-Claude Compain, alors maire du chef-lieu. Et Robert Bon de repartir pour un nouveau mandat. L'accident devenait selon les observateurs avertis une tendance sur le long terme dont su bénéficier le socialiste Thierry Mesmin en 2004.
Ce canton reste difficile pour la gauche même si les régionales de 2010 lui ont été particulièrement favorables. Les législatives de 2002 avaient été symétriquement très favorables à la droite. Bref, ici, on est habitué à des "swings" assez forts comme disent nos amis anglo-saxons, des retours de balancier comme on dirait chez nous.
Le fait d'être sortant avantage Thierry Mesmin ainsi que configuration des candidatures pour le poste de remplaçant. Enfin, le conseiller général est devenu maire de Persac.
Un fief de droite passé à gauche

Une participation toujours autour de 70%

Un canton où le balancier gauche/droite a une forte amplitude

Une droite très riche en candidatures

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